Les sons de Billy Elliot
Pixivore adoooooore les chansons qu’on entend dans Billy Elliot. Toi aussi ? ça tombe bien, voici la playlist :
😊🤘🎵 enjoy !
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Pixivore a surkiffé les sons dans le film Rocks. Du coup, voici une petit playlist youtube qui reprend la plupart d’entre eux et qui fait plaisir !
😊🤘🎵
Dans le film Jeune Juliette, la musique est vraiment trop bien !
Du coup, Pixivore a eu envie de demander à la réalisatrice du film, Anne Émond, de nous conseiller quelques chansons…
Rien de mieux pour (re)plonger dans un passé récent, comme le fait Noémie Lvovsky, que de faire entendre les hits de l’époque. Si tu veux prolonger le voyage temporel de Camille en 1985, Pixivore te propose une playlist réunissant les chansons des eighties entendues dans le film et des titres d’artistes dont on voit les disques et les photos dans sa chambre.
La chanson sur laquelle Camille et ses amies dansent à deux époques différentes est Walking on Sunshine, le tube du groupe anglo-américain Katrina and the Waves, entendu dans une soixantaine de films et de séries :
La chanson qui suit dans la « boum » de 1985 est Venus du trio anglais Bananarama. Le titre fait partie des quelques anachronismes musicaux du film puisqu’il est sorti en mai 1986.
Lors de son retour au lycée, Camille écoute sur son Walkman (un joli modèle Sports WM-35 jaune) 99 Luftballons (1983) du groupe ouest-allemand Nena, une chanson employée dans de nombreux autres films.
Dans la chambre de Camille, on peut distinguer quelques pochettes de disques vinyles. Tout d’abord l’album éponyme de The Belle Stars (1983), dont le titre le plus connu est Iko Iko – qui n’est donc pas une nouveauté reggae de 2021 mais la reprise d’une chanson écrite en 1953 à la Nouvelle-Orléans.
Camille est une grande fan de Kim Wilde : elle a son premier album (1981) et le 45 tours de Kids in America (qui fait doublon car le titre est déjà dans l’album !). Elle a aussi punaisé à son mur une photo de la chanteuse anglaise.
Madonna apparaît aussi à plusieurs reprises dans la chambre, grâce au 33 tours True Blue (sorti en 1986) et à une photo du film Recherche Susan désespérément (1985), qu’on connaît maintenant pour la chanson Into the Groove.
Camille doit particulièrement aimer le film Flashdance (1983) puisqu’elle a deux exemplaires de la même photo de l’actrice Jennifer Beals.
La bande-son et les goûts musicaux de Camille mettent en valeur les chanteuses et les groupes de filles. Quelques artistes masculins sont tout de même visibles. Quand elle se réveille en 1985, Camille enfile un tee-shirt du grand groupe punk The Clash.
A côté de son lit, on aperçoit le Maxi 45 tours de Wake Me Up Before You Go-Go (1984) du duo Wham!
Enfin, on remarquera, à gauche du miroir, une photo de David Bowie, tirée du film L’Homme qui venait d’ailleurs (1976).
Si tu as lu l’article le cinéma de Jafar Panahi, tu sais que celui-ci n’a plus le droit de réaliser de films en Iran. Depuis la révolution iranienne de 1979 (date depuis laquelle les femmes n’ont plus le droit d’aller au stade), toute la production culturelle iranienne est en effet contrôlée par le régime islamique, qui censure les critiques à son égard et à l’égard de la société iranienne dans son ensemble. La musique dite “occidentale”, dont le rap par exemple, ne sont pas autorisés. La loi interdit aussi que les chanteuses et les musiciennes se produisent seules sur scène face à un public. Pour pouvoir le faire, elles doivent être en groupe ou accompagnées d’un homme.
Mais ces lois très strictes n’empêchent pas les iraniens et les iraniennes de créer et de dénoncer, comme continue de le faire malgré tout Jafar Panahi et comme Justina, qui fait du rap depuis ses 15 ans. Les tubes qu’elle enregistre sont distribués via des plateformes pirates hébergées aux États-Unis. À visage découvert, elle prend des risques pour faire acte de résistance et dénoncer la situation des femmes.
Voici un petit reportage de l’Obs qui t’en dira plus sur Justina ainsi que deux de ses titres.
La musique a une place importante dans les films de Wes Anderson.
Pour Fantastic Mister Fox, le réalisateur a souhaité un univers musical rock/pop/country.
Comme pour ses précédents films, Wes Anderson a travaillé avec le compositeur de musique de film Alexandre Desplat, très célèbre dans son domaine (il a notamment composé la musique de certains films de la saga Harry Potter).
Le réalisateur a lui même écrit la chanson de Petey avec Noah Baumbach (co-scénariste du film), qui est interprétée par Jarvis Cocker, chanteur du groupe de rock “Pulp”.
Certaines musiques ont donc été imaginées spécialement pour le film.
D’autres sont de vieux tubes des Beach Boys, des Rolling Stones ou encore de The Wellingtons. On note aussi la présence de la chanson Love de Nancy Adams, présente dans Les Aventures de Robin des bois de Disney, sorti en 1973, tel un petit clin d’oeil d’une histoire de renard à l’autre…
Le reggaeton est un genre musical originaire des Caraïbes qui a émergé dans les années 2000 et dont les sons sont inspirés du reggae, du hip-hop et du dancehall jamaïcain. Le reggaeton est devenu un phénomène mondial, grâce notamment au succès de la chanson Despacito des Portoricains Luis Fonsi et Daddy Yankee.
Comme dans beaucoup de musiques dites « populaires », les paroles des chansons de reggaeton parlent des réalités de la rue, des injustices et des révoltes qui y sont liées, de la corruption politique, de la drogue, du racisme mais aussi des relations sexuelles et amoureuses. L’une des critiques faites au reggaeton est d’ailleurs que les femmes y sont la plupart du temps représentées d’un point de vue très machiste.
Dans Gente de bien, la chanson écoutée par Éric et son père est Tu Cuerpo Me Llama (« Ton corps m’appelle ») de Reykon feat. Los Mortal Combat. Mais peut-être que tu connais aussi d’autres chanteurs.euses de reggaeton colombiens.iennes : J. Balvin, Willy William, DJ Snake, Rosalía ou Bad Bunny, et Maluma…
Pedro Onetto et Marta Roca Alonso ont composé des musiques spécialement pour Enfance Clandestine. C’est ce qu’on appelle la bande-originale du film.
Avec le réalisateur Benjamin Àvila, qui ne voulait pas une musique trop dramatique (le sujet l’étant déjà assez), ils ont décidé d’associer un genre de musique particulier à chaque personnage. Le thème musical principal du film est donc associé à Juan – puisqu’il est le personnage principal de l’histoire. Souviens toi, c’est cette mélodie qui revient à plusieurs reprises, du début à la fin, sur des variations différentes… La voici !
Une chanson n’a pas été conçue pour le film mais date de bien avant… du début du XXème siècle. C’est la chanson “Sueños de juventud” d’Enrique Santos Discépolo qu’interprète Natalia Oreiro (la mère de Juan). Voici les deux versions.
Et pour les fans d’espagnol, les paroles en dessous !
Sufres porque me aleja
La fe de un mañana
Que busco afanoso
Tan sólo por ti
Y es un collar de estrellas
Que tibio desgranan
Tus ojos hermosos
Llorándome así
Sueño de juventud
Que muere en tu adiós
Tímida remembranza
Que añoraré
Canto de una esperanza
Que ambicioné
Acariciando tu alma
En mi soledad
Mi pobre corazón
No sabe pensar
Y al ver que lo alejan de ti
Sólo sabe llorar
Sólo sabe gemir
Sangrando al morir
En tu adiós
Lírico amor primero
Caricia y tortura
Castigo y dulzura
De mi amanecer
Yo acunaré en un canto
Tu inmensa ternura
Buscando en mi cielo
Tu imagen de ayer
Sueño de juventud
Que muere en tu adiós
Tímida remembranza
Que añoraré
Canto de una esperanza
Que ambicioné
Acariciando tu alma
En mi soledad
Mi pobre corazón
No sabe pensar
Y al ver que lo alejan de ti
Sólo sabe llorar
Sólo sabe gemir
Sangrando al morir
En tu adiós
La bande originale de Swagger a été réalisée par Jean-Benoît Dunckel, un musicien français cofondateur du groupe de musique électronique Air.
En plus de ses projets avec le groupe Air, Jean-Benoît Dunckel s’est lancé dans des projets « solo » sous le nom de Darkel et JB Dunckel. Si tu veux te plonger un peu plus dans son univers musical, voici le clip Hold on qui pourrait t’intéresser.
J’imagine que tu te souviens de nombreuses musiques des génériques de tes films préférés, non ? Ce qui est certain, c’est que la musique du générique de fin d’un film est importante car c’est la « note finale » qui clos un film et accompagne la sortie des spectateurs.trices d’une salle ou d’un canapé confortable…
La musique du générique de fin de Swagger, c’est le morceau 1992 de Rejjie Snow et Loyle-Carner, deux jeunes musiciens britanniques qui rappent la vie quotidienne, les rêves et les désillusions des adolescent.e.s et des jeunes adultes de la génération Y.
Pourquoi 1992 ? Parce que « 92 dreams, 92 kids, 92 queens, 92 kings, 92 boys, 92 girls, 92 beats, a 92 world » (extraits des paroles). Au passage, on retrouve ce son à d’autres moments du film.